Cet article est inspiré du livre : « Les 3 clés des entrepreneurs sereins pour atteindre vos objectifs sans avoir à sacrifier votre vie personnelle. »
Vous pouvez obtenir gratuitement la version PDF en remplissant le formulaire ci-dessous.
Si je pouvais résumer cet article en une phrase, je dirais :
« Ce n’est pas votre activité qui génère 99 % de votre surcharge mentale et de votre épuisement. Ce sont vos inquiétudes et tout ce que vous ruminez dans votre tête à propos de cette dernière. »
Dans les lignes qui suivent, on va voir ensemble comment prévenir le burn out en tant que dirigeant en 3 étapes.
Et surtout, comment ne pas attendre que ça lâche pour réagir.
Les causes sont multiples :
Une activité stressante
Une charge de travail excessive
Peu ou pas d’équilibre entre la vie pro et la vie perso
Une pression permanente pour faire tourner la boîte
Et souvent, tout cela se cumule.
Résultat : la cocotte-minute finit par exploser
Ce sont les conseils qu’on retrouve un peu partout. Et qui peuvent fonctionner… parfois.
Faire du sport, méditer, respirer
Mieux déléguer
Se bloquer des soirées ou des week-ends
Apprendre à mieux gérer son temps (cliquez ici pour apprendre à mieux le gérer)
Le souci ?
Si tu sens que le burn out n’est pas loin, tu as sûrement déjà tenté tout ça. En vain.
Et c’est normal. Pourquoi ?
Parce que tu n’arrives pas à prendre ce foutu temps pour toi.
Parce que tu culpabilises ou que ton cerveau reste allumé même quand tu es censé te reposer.
Et c’est exactement pour ça qu’on passe au niveau 2.
Si aujourd’hui tu n’arrives pas à t’arrêter.
Que tu continues de faire des choses que tu ne devrais pas:
Le burn out vient aussi de là : des charges mentales associées à ta boîte.
Qui te font mal dormir, qui te bouffent de l’intérieur, qui t’épuisent.
La vraie question à te poser : de quoi j’ai peur ?
Peur d’échouer
Peur de perdre de l’argent
Peur d’être jugé
Peur de faire confiance
Une fois identifiées, ces peurs peuvent tomber.
On utilise pour ça un exercice de préparation mentale simple, mais redoutablement efficace.
C’est exactement ce qu’on a fait avec un dirigeant qu’on a accompagné :
Il n’arrivait pas à gérer ses priorités → il avait du mal à dire non → il n’était pas à l’aise avec le conflit → il voulait être bienveillant.
Et s’il était malveillant ? Il avait peur de ne pas être aimé.
Donc ce n’était pas un problème d’organisation.
C’était un problème d’oser assumer ses choix et d’être OK avec l’idée de déplaire (pour arrêter d’être débordé pour rien)
Et si tu veux tester l’exercice, tu peux télécharger la trame ici : [lien à insérer]
Là, on touche à ce que j’appelle les angles morts.
Je te donne un exemple:
Une dirigeante qu’on a accompagnée chez Kraken.
Elle avait déjà fait un premier burn out.
Et elle sentait que le deuxième n’était pas loin.
Elle n’arrivait pas à lever le pied. Pression énorme.
On creuse, et on découvre un perfectionnisme ultra-rigide.
Pourquoi ?
Parce qu’enfant, si elle ne ramenait pas au moins un 18/20, ses parents n’étaient pas satisfaits. Donc elle a associé :
“Si je travaille dur, papa et maman vont m’aimer.”
Le problème, c’est que même adulte, ce programme tournait encore.
En arrière-plan. Et son système nerveux, lui, n’arrivait pas à décrocher.
La solution : reprogrammer. Travailler sur l’inconscient avec des exercices adaptés.
C’est exactement ce qu’on fait chez Kraken.
On va aussi bosser sur deux points essentiels :
Définir ta boîte idéale : salaire, temps de travail, nombre de collaborateurs, chiffre d’affaires…
Mais aussi ta vie de rêve.
Celle que tu veux réellement vivre, pas celle que ton business t’impose.
Et intégrer tout ça dans ton agenda.
Parce que ta boîte est censée servir ta vie. Pas l’inverse.
Et là, forcément, les “oui mais…” vont ressortir :
Oui mais ce n’est pas réaliste
Oui mais j’ai pas le temps
Oui mais si je perds un client…
Ces “oui mais”, on les appelle les Krakens.
L’idée n’est pas de les fuir. Mais de les regarder bien en face. Pour les faire tomber un à un.
Parce que tant que tu les ignores, ce sont eux qui prennent les décisions à ta place.
Tu veux qu’on t’aide à bosser là-dessus ?
Tu as un lien pour réserver un appel ou accéder à l’exercice.
Et sinon, tu peux commencer seul, avec les questions de cet article.
Mais ce qui est sûr, c’est qu’à un moment, tu vas devoir choisir : subir ou reprendre le contrôle.